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Passion Lyre
10 juillet 2016

Les livres de l'été sur SOUVENIRS FM

 

Proposé par Patricia des éditions PASSIFLORE à Dax :

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Quatrième de couverture : Au crépuscule de sa vie, Aurélien se voit rattrapé par les souvenirs du Pays d'en Haut, contrée improbable découverte à l'âge de vingt et un ans ; en elle se forgea à tout jamais l'homme qu'il est devenu. Il a connu jadis, là-bas, très loin, par-delà les mers, un miracle de verdure perdu aux confins d'un océan de dunes, une région mystérieuse posée tel un confetti sur l'immensité du désert. Aurélien va reprendre la route, non pour suivre simplement le cheminement de sa mémoire, mais pour revenir à ce qu'au fond il n'a jamais cessé d'être : un enfant du Pays d'en Haut. La vie est brève, et son école n'attend pas...

Proposé par Marion des éditions GAÏA à Montfort-en-Chalosse :

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Quatrième de couverture : Trouver sa place n'est pas une mince affaire quand on cherche l'endroit où vivre. Le jeune homme comprend vite qu'aucune maison ne lui conviendra jamais. Sa vieille Ford break est bien une habitation à elle seule, mais peut-être insuffisante. Alors pourquoi pas s'enfoncer dans les bois et y dresser un tipi. C'est presque aussi simple que d'enfiler un grand vêtement. Eloge d'un mode de vie poétique et rock'n roll, un roman nerveux et contemplatif, sur les traces de Thoreau et scandé par les riff de guitare de Neil Young.

Proposé par Dominique de la Librairie Campus à Dax :

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Quatrième de couverture : Mr. Johnson, le monsieur du dessus, a toujours les lacets défaits et des vestes trouées. Pourtant, c'est un violoniste célèbre qui vit dans le plus bel appartement de l'immeuble, avec vue sur la mer. Anna, la voisine du dessous, partage un petit entresol obscur avec sa fille, taille ses robes dans de vieilles nappes et fait des ménages. Pourtant, elle cache dans ses tiroirs des dessous coquins et des rêves inavoués. Ces deux-là, plus tout jeunes, débordants de désirs inassouvis, étaient faits pour se rencontrer. Dans les escaliers, où montent et descendent des voisins occupés par une farouche quête du bonheur, se tricotent à tous les étages situations rocambolesques, amours compliquées, jalousies absurdes. Mais n'est-ce pas là la clef de voûte de toute vie ? Observatrice indiscrète, pourfendeuse de la normalité, Milena Agus fait la chronique de ce microcosme dans lequel souffle un vent délicieusement frondeur.

Proposé par Serge Airoldi écrivain journaliste et directeur des Rencontres à Lire à Dax :

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Quatrième de couverture : Paysage avec palmiers aurait pu s'intituler " Flashes à Beyrouth ". Face à la guerre, Bernard Wallet fait l'économie du roman et des explications pour ne conserver que les images, les scènes, les faits nus et bruts. Ces " choses vues " disent l'horreur, mais aussi sa fascination. En s'approchant de cette vérité, qui ne peut exister que par éclats, le livre éclaire du même coup l'effet dévastateur de la guerre sur celui qui en est le témoin. " Cela se passe à Beyrouth et à bout portant ? Oui, mais le Liban, on le voit, est désormais partout, et la guerre est devenue une boucherie du tac au tac, pour un oui ou pour un non. Que faire ? Protester, s'indigner, aller voir et témoigner pour un résultat spectaculaire supplémentaire ? Non : écrire ce qui est, au plus près d'un non-sens fracassant. Ce récit est vrai puisque les corps n'y sont jamais absents. Beyrouth n'était qu'une simple préparation à une sauvagerie désormais ouverte et universelle. L'histoire, comme le désir de mort, n'a pas de fin. " (Philippe Sollers)

 Proposé par Marion des éditions GAÏA à Montfort-en-Chalosse :

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Quatrième de couverture : Venezuela, 1795, poussé par la tempête le Cougar accoste une jungle hostile avec à son bord le commandant Gaëtan de Kervillis et sa belle-fille sur le point d'accoucher. Paris, 1986, le commissaire Célestin Coquillard est chargé d'enquêter sur la mort successive d'héritiers de Kervillis, alors que la France s'apprête à signer un accord commercial historique avec les Etats-Unis. Mais ceux-ci réclament le remboursement de saisies pratiquées sur leurs navires entre 1798 et 1803, de véritables trésors de guerre amassés par les corsaires. Un roman d'aventures truculent doublé d'une saga familiale énergique, qui nous embarque de La Havane aux côtes bretonnes.

Proposé par Dominique de la Librairie Campus à Dax :

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Quatrième de couverture : En 1936, dans le sud de l'Allemagne, à la lisière de la Forêt-Noire, Eva mène une existence monotone dans la ferme familiale. Un jour, alors que son mari est sur le point de partir pour l'armée, elle découvre un étudiant caché dans son poulailler. D'instinct, elle le protège et l'abrite. Cette présence déroutante va pourtant bouleverser sa vie... Qui est Nathanael ? Quel danger court-il ? Avec son solide bon sens, Eva pose les vraies questions sur les préjugés, l'aveuglement, la lâcheté, et fait le récit émouvant de sa double éducation sentimentale et politique.

"Ce livre fait penser au très beau film de Clint Eastwood, Sur la route de Madison" Le Figaro littéraire

Proposé par Serge Airoldi et Dominique de la Librairie Campus à Dax :

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Quatrième de couverture : Alger, 1956. Fernand Iveton a trente ans quand il pose une bombe dans son usine. Ouvrier indépendantiste, il a choisi un local à l'écart  des ateliers pour cet acte symbolique : il s'agit de marquer les esprits, pas les corps. Il est arrêté avant que l'engin n'explose, n'a tué ni blessé personne, n'est coupable que d'une intention de sabotage, le voilà pourtant condamné à la peine capitale. Si le roman relate l'interrogatoire, la détention, le procès d'Iveton, il évoque également l'enfance de Fernand dans son pays,l'Algérie, et s'attardesur sa rencontre avec celle qu'il épousa. Car avant d'être le héros ou le terroriste que l'opinion publique verra en lui, Fernand fut simplement un homme, un idéaliste qui aima sa terre, sa femme, ses amis, la vie - et la liberté, qu'il espéra pour tous les frères humains. Quand la justice s'est montrée indigne, Joseph Andras questionne les angles morts du récit national et signe un fulgurant  exercice d'admiration.

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